C’est l’histoire vraie, funeste et ridicule, de la cruauté comme mode de vie. L’histoire du Capitaine Adair qui se pensait un génie, une légende, pret à sacrifier 224 singularités au bénéfice d’un fantasme individuel, négligeable et médiocre la constitution d’un royaume avec comme unique sujet : lui-même même, un royaume immaculé pour un être suprêmement supérieur dialoguant avec un dieu sanguinaire. Peu importe à quelle époque il a sévit, c’est toujours la même maladie, la peur de mourir sans laisser sa marque… son empreinte dans le marbre.

Comme tous ceux qui confisquent et détruisent des équilibres au profit de leurs legendes, il fallait bien qu’une contre réponse intervienne, peu importe quand, comment, comme une trace indélébile, cette réponse a tout son temps puisque ce n’est pas le problème d’un seul ou d’une seule, cette réponse lentement remonte.

Quelle sera le ou les visages qui apporteront cette contre réponse, ce boomerang, c’est en cours, juste une question de patience !