Les formes que je propose sont issues de l’interrelation entre le domaine du sensible et les théories, prédictives ou descriptives, élaborées depuis des millénaires pour décrire le monde (géométrie, géologie, météorologie, thermodynamique, théorie du chaos ou physique élémentaire…). J’utilise la science de manière empirique, sans nombre ni équation, afin d’induire une lecture poétique des mécaniques de paysages et plus généralement des phénomènes physiques construisant l’espace quotidien, universel ou anthropique. L’estran de l’estuaire du Trieux (fleuve des Côtes-d’Armor) est un espace matriciel d’où j’extrais des matériaux et une multiplicité de phénomènes, de processus, de valeurs ou de mouvements. […]
Les formes que je propose sont issues de l’interrelation entre le domaine du sensible et les théories, prédictives ou descriptives, élaborées depuis des millénaires pour décrire le monde (géométrie, géologie, météorologie, thermodynamique, théorie du chaos ou physique élémentaire…). J’utilise la science de manière empirique, sans nombre ni équation, afin d’induire une lecture poétique des mécaniques de paysages et plus généralement des phénomènes physiques construisant l’espace quotidien, universel ou anthropique.
L’estran de l’estuaire du Trieux (fleuve des Côtes-d’Armor) est un espace matriciel d’où j’extrais des matériaux et une multiplicité de phénomènes, de processus, de valeurs ou de mouvements.
Ainsi sont tissés des liens entre microcosme et macrocosme, l’infiniment petit révèle l’infiniment grand, et inversement.